C’estlàqu’elleaapprislarigueur du dessin et a différencié les qualités de chaque matériel pour exprimer les idées. C’était l’exploration picturale.
En 2003, Gaëlle ressent une volonté de changer sa façon de pratiquer la peinture ce qui l’a pousse à exposer.
Elle commence quelques expositions locales et régionales collectives. Son sujet est principalement « l’humain ».
A travers lui, son âme, sa vie, ses rêves, ses origines, ses contradictionset surtout son lien qu’il entretient avec la nature.
Elle a commencé par des visages, des sujets de payslointains.
A ses débuts elle utilisait la gouache puis l’aquarelle.
De par sa texture, l’aquarelle lui a permis de dompter le fluide et la légèreté.
Jouer avec les blancs du papier comme on joue avec la lumière. Les couleurs pouvaient être fortes, intenses, lumineuses, chaleureuses ou froides.
Mais, il lui manquait le ressenti des mouvements gestuels. En parallèle, elle s’exerçait à la peinture à l’huile.
C’est lors d’un stage en 2011 qu’elle a appris à utiliser l’huile comme vecteur d’émotions. La texture grasse devient aussi fluide que l’eau. Pratiquer l’huile de manière la plus fine possible.
Un travail bien connu de la peinture Italienne, le glacis. Elle décide de marier le fluide de l’huile, l’intensité des couleurs et sa gestuelle lyrique naturelle pour exprimerl’émotion.