Composition 1.2
Composition 1.2.

Oeuvre unique vendue avec son certificat d’authenticité.

Composition 1.2

Par

Michel SCHWEBEL.

acrylique sur toile.

130cm x 97cm.

Tarif, frais de port offerts :

1389 euros.

(Opportunité, pour les professionnels d’acquérir cette oeuvre par le biais du leasing. Pour toute demande, merci de bien vouloir cliquer sur “Contact“).

  • Michel Schwebel est entré dans l’abstraction à travers « Rouille ». une série de toiles se saisissant de  la couleur dans les sursauts et les camaïeux de sa dégradation.

  • De la rouille au rouge, il n’y avait qu’un pas.

  • Essentialisant les teintes, le peintre a poursuivi son itinéraire conceptuel. Il intégre la ligne droite et le noir, dont la force s’impose à lui lors d’une exposition consacrée à Pierre Soulages. La série « Rouge et Noir » lui ouvre ainsi la voie à l’abstraction géométrique. Aux rencontres brutes des lignes et des teintes absolues.

  • Et après ?, s’interroge l’artiste. Cette fois, c’est Kandinsky, avec son ouvrage Point et ligne sur plan, qui éclaire son questionnement.

  • Dans cet essai, l’initiateur de l’abstrait analyse les formes géométriques à l’œuvre dans toute peinture et les effets sensibles que « point » et « ligne » suscitent dans le regard de chacun.

  • « Divagations géométriques », série exposée cet automne à la Cour des chaînes, tient sa source de cette réflexion.

  • Si l’on s’en tient à l’étymologie, « divaguer » c’est errer çà et là.  La divagation est ici multiple.

  • Elle est d’abord l’exploration du peintre, en balade dans les champs de la forme.

  • La recherche géométrique est en effet le fil conducteur de cette série dans laquelle chaque toile naît de plans régis par le nombre d’or. Loin d’une perspective impressionniste, la peinture de Michel Schwebel répond à un besoin de construire.

  • Trouver « le point d’ancrage de chaque élément ». Organiser une harmonie des surfaces, permettre à chaque forme de « tenir », d’interagir avec les autres. Faire en sorte « qu’elles ne tombent pas », voilà le cheminement de l’artiste pour qu’existent ensemble ces figures.

  • La structure est sans conteste le nœud de ce cycle. Les toiles y sont pensées par suites de trois, où trapèzes, cercles ou autres triangles progressent, éclatent ou se rapprochent. A partir d’une forme première dans laquelle toutes pourraient être contenues.

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